"Constantine"
Constantinois & Constantinoise
 
Constantine en arabe Quacentina, algérie Chel-lieu de Wilaya, la olus importantes ville de l'est algérien. Les profondes gorges du Rumel qui l'entourent en font une forteresse naturelle. La ville fut la capitale des Numides . sous le nom de Cirta, puis une colonie romaine s'établir sur le site. Les Arabes l'occupèent au VIIe s., les Français la prirent en 1837. C'est aujourd'hui la troisième ville du pays, un centre administratif, industriel (textiles, constructionmécanique) et universitaire.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Blason
Signification

Constantine située au nord de l'Algérie la ville s'étend sur un plateau rocheux à 649 mètres d'altitude.

Elle est coupé des régions qui l'entourent par des gorges profondes où coule l'ouest de Rhumel, de tous côté sauf à l'ouest.

"Coupé d'Azur r et de gueule d'Aagent au poisson en pointe de même . Sonné d'unne couronne murale d'or à cinq créneaux au cheval gai de sable"

 

 

L'Azur représente le ciel, les gueules (d'un mot persan Signifiant les couleurs ) Symboliseraient le désert ; ou, selon une autre signification, les gorges du Rhumel (décrites par Guy de Maupassant telles q'un "Abîme rouge comme si les flammes éternelles l'avaient brulé").

Le chevron représente le confluent en amont et près de Constantine des oueds Rhumel et Bou Merzoug.

Certains croient y voir l'éperon des cavaliers arabes. Le barbeau est l'évocation du Rhumel qui traverse la ville ; poisson commun des oueds algérienne, (il ne faut pas y voir la marque des premiers crétients).

La couronne murale est le timbre normal des blason des cités. Ici , elle à une signification particulière Constantine (ex . Cirta était dès la plus haute antiquité, une place forte, entouré de solides fortification. Quand au cheval, à robe noir de Numibie (gai signifiant nu c'est à dire ni sellé ni bridé) , il rappelle l'importancede l'animal de selle pour les populations de la régions. Ils peut rappeler aussi le souvenir de la célèbre jument noir Halilifa, passé dans la légende arabe, qui par son instinct, sa vigueur et son galop, Contribua à la délivrance de Constantine assiégée par les Tunisiens en 170.

R.Le Viavant...

(Texte extrait du livre " De Cirta à Constantine de 1836-1962, ACEP. Ensemble " Editeur).