"Triora"
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Au Bourg Médiéval
Déjà fief des comtes de Vintimille, après inexpugnable forteresse de la République de Gènes, Triora a des origines lointaines liées aux premières batailles parmi des faction oposées (pisces archéologiques à Loreto, Realdo, Creppo et Boniga).
Gardien des frontières liguriennes, Triora suit le destin et splendeur de la république jusqu'à l'époque napoléonienne.
Les ruines des anciennes vestiges, parmi les plus célèbres de la Ligurie de l'ouest, son aujourd'hui des destinations du tourisme international.
 

Le boulanger
la tome et le Pain de Triora
Né grâce à l'enthousiasme des jeunes du "CAMPO ECO" de la ville de Gènes et à l'immédiate réponse positive des indigènes, le musée régional ethnographique et de la sorcellerie rassemble beaucoup d'objets anciens, pafois encore employeés aujourd'hui dans les bourgades rureaux comme Goina et Borniga et dans les maisons de paysans et bergers et de leurs héritiers. Ces objets représentent une manière de revivre la culture locale encore vivante et palpitante. Réparti en six salles, le musée ethnographique y représente les différents cycles de vie paysanne. Au rez-de-chaussée dans une grande salle on trouve les outils des paysans, des muletiers, des menuisiers et des boulangers, témoignant la vie des champs et le cycle du blé
 
La salle voisine est consacrée au cycle du châtaignier dont le fruit a longtemps constitué la principale subsistance pour les familles du lieu.

 

 

 

Châtaigne
Dans la cuisine, reconstruite traditionnellement avec le foyer et le séchoir, on a l'impression de goûter les saveurs d'autrefois. Plusieurs objets comme la huche, la crédence, les lampes, le trépied où le feu semble s'allumer à chaque instant, nous font penser au passé, quand les familles unies s'asseyaient autour du foyer pour se raconter des fables et des contes des siècle passés.

Une petite salle communicante avec la cuisine conserve les outils pour le travail du lait et des produits des brebis.

Les différents objets parlent d'une activité qui survit encore dans certaines zone comme la vallée du Capriolo et de l'Abenin.

Le Chaudron Qu'est-ce qun chaudron ? C'est un récipient circulaire ou cylindrique, relativement profond, au fond arrondi le plus souvent, surmonté d'une ance pour le suspendre à la crémaillère, au-dessus du feu, et le déplacer. On l'utilisait jadis pour cuire des aliments. En fonte, en bronze ou en cuivre, , les cuisinières et cuisiniers s'en servaient pour préparer confits et confitures, entre autres. Mais tout laisse suposer que c'est l'un des plus anciens ustensiles pour faire cuire et transformer les aliments . C'est dans son pouvoir de nourir les hommes et de transformer les produits de la nouriture au contact du feu, d'une manière quasi-invisible donc magique.Le contenu du chaudron reste toujours mystérieux que l'on trouve sa signification symbolique. C4est ainsi que, dans de nombreuses mytologies, le chaudron fut assimilé aussi bien aux force du bien qu'à celle du mal.Il fut l'attribut des dieux préparent le repas divin, symbole de richesse, de prospérité, d'abondances, comparable à la fameuse corne du même nom. Mais fut aussil'ustensile de la cuisine du Diable et surtout, bien sûr, celui des sorcières des conte et des légendes.

C'est dans leur chaudron magique que les mauvaises fées préparaient leurs breuvages maléfiques. Cest croyances trouvent peut-être leurs origines dans la mytologie celtique. Selon elle, le druide disposait de trois espèces de chaudrons, dont chacun avait une fonction distincte. Le premier était dit chaudron d'abondance. Il avait le don ou la vertu de rassasier les hommes. Mais il s'agissait là de nourritures aussi bien terestes que célestes ou spirituelles. Ceux qui avaient faim de savoir et de connaitre y trouvaient de quoi se satisfaire. Le deuxième portait le surnom de chaudron de résurection. On y jetait les cadavres , afin que les morts puissent ressusciter en subissant la même transformation que les produits de la terre, sous l'effet de la chaleur dégagée par les flammes. Enfin, le troisième chaudron était celui du sacrifice de celui qui renonce aux bien de ce monde et de la terre, à sa vie même, pour se transformer intérieurement, devenir un être libre. Abondance, résurrection ou vie éternelle, sacrifice ultime, salvateur, comme on le voit, les trois symboles, qui se rattachent aux trois chaudrons de la mythologie celtique qui étaient les attributs du druide, ne sont pas sans réminiscences dans les symboles chrétiens.

 

Le terrain planté en vigne était autrefois très étendu, maintenant il disparaît et des tonneaux, des cuves, des fiasques et des dames-jeannes rangés en ordre dans la cave témoignent de cette activité rentable.